Ces films-là résonnent avec les cinématographies des minorités, documentaires singuliers, rares fictions atypiques, clips ou web-documentaires.
Beaucoup d'entre eux ont été programmés au Festival de cinéma de Douarnenez. Cette diversité des formes et des univers filmiques répond à la diversité des cultures minoritaires : on ne filme pas un conte amérindien comme un manifeste pour la résistance kurde, les Aborigènes ont un rythme dans leurs récits différent des autochtones du Nunavut... Tout cela nourrit nos imaginaires.
Nous n'avons pas omis les films d'ateliers, comme autant de promesses de réponses, dès lors que l'on se pose de façon récurrente la question : Pourquoi prendre la caméra ?
La place des films qui documentent la Bretagne est significative, puisque pour aller ailleurs, il nous a semblé vital de se pencher sur nos productions. Ce travail est fait en lien avec l'association Daoulagad Breizh.
